- Ce que nous conseillerions aux AOM, c’est déjà de travailler collectivement sur la définition de la mobilité dans le territoire qu’elles couvrent, sur les valeurs qu’elle doit véhiculer et sur la finalité du projet qu’elles veulent promouvoir, et cela avant même de se lancer dans le déploiement de solutions.
Pour cela les AOM doivent apprendre :
- à travailler avec le terrain,
- avec les territoires,
- avec les personnes qui y habitent
- et directement, avec ceux qu’on appelle les usagers mais que nous préfèrons appeler les bénéficiaires.
L’idée première, sur un territoire, doit toujours être celle de coconstruire plutôt que d’imposer. De penser à la désirabilité d’un projet plutôt qu’à son acceptabilité.
Coconstruire implique aussi d’être en mesure d’imaginer des services de mobilités susceptibles de s’adapter aux besoins, y compris dans leur conception.